Christelle Vuanga fait de la défense de droits de l’Homme, de droits des femmes et de la jeune fille son cheval de bataille. Elle reste intransigeante face à ces questions. Avec la Commission genre, famille et enfant qu’elle pilote, la députée demeure ferme et engagée.
Elle est partout où on parle de la femme. Son nom est Christelle Vuanga, l’heureuse élue de la Funa. L’une de 50 femmes élues députées nationales à la législative nationale de 2018 ; un nombre insignifiant sur le 500 élus, qui ne favorise guère la parité comme repris dans la Constitution de la RDC.
Nonobstant, cela ne constitue donc pas un obstacle à Christelle Vuanga pour accorder son violon, ouvrir son cœur et parler en faveur de ses électrices et électeurs, et des citoyens de toute la République. Ses démarcations, son engagement et sa motivation lui permettent de frayer non seulement un chemin pour la jeune génération, mais également de laisser des traces comme repères. Ces traces, sont indubitablement celles d’un ayatollah.
Christelle Vuanga est avant tout journaliste, perspicace et douée, connue grâce à ses analyses pertinentes, objectives et condensées sur les questions politiques, touchant particulièrement la vie de la femme, la femme congolaise donc. Les femmes qu’elle défend, sont de toutes les catégories sociales.
Soucieuse et engagée dans l’éducation de la jeune fille congolaise en vue de la préparer à devenir une citoyenne modèle et utile à la société, l’élue de la Funa et présidente de la Commission genre, famille et enfant laisse paraître des signes indéfectibles d’une femme dévouée pour la jeunesse féminine congolaise et partant, d’un modèle enviable et redoutable pour sa génération et les aspirantes à la politique du changement.
La lutte a commencé quelque part…
Native de Kinshasa, l’histoire de Christelle Vuanga avec la défense des droits de l’homme a commencé depuis son jeune âge, quelque part. Il faut un sens élevé d’humanisme pour se lancer dans une lutte aussi noble. Elles forment, Christelle et la défense des droits de l’homme, un tandem indissociable. Aujourd’hui, la députée s’est imprégnée de cette noble lutte, pour la cause commune, et demeure intransigeante sur les questions des droits des femmes, des hommes et des jeunes filles. Entre elle et son combat, c’est cul et chemise.
Se verser dans la politique est, pour Christelle Vuanga, un moyen d’exprimer, imposer et exposer ses convictions allant dans le sens de prôner un Congo nouveau et communiquer son fardeau du fait de vivre pour les autres. Maîtrisant le principe de la chaîne de Markov, qui démontre que la représentation du futur dépend du processus du présent, l’élue de la Funa mène un combat au présent dont les résultats éclateront au futur, ou dans un futur proche.
Avant d’accéder à l’Assemblée nationale, elle s’était investie dans la défense des droits de la femme faible, qui aujourd’hui, en connaissance de cause, est son cheval de bataille. Avec sa casquette de députée nationale, l’élue de Funa ne cesse de mouiller son maillot, avec foi et bonne volonté, au travers des actions louables, pour apporter finalement une plus-value relativement égale à la tâche qui lui incombe.
Ses marques déposées
Ses exploits et prouesses, sont vues et connues des Congolais, ses électeurs et électrices disons mieux. Est-ce là vaut, pour autant, une ceinture noire à Christelle Vuanga ! Quoi qu’il en soit, ses électeurs et électrices feront mieux, s’ils s’en convainquent, de lui garantir un siège à la Chambre basse du Parlement, après les joutes électorales de 2023.
Vuanga est l’initiatrice du « Parlement Rose », un cadeau qu’elle offre à l’Assemblée nationale ; parlement qui – au sens figuré – est un moyen de donner à la femme la parole qu’elle n’a jamais rêvé un jour, celle de s’exprimer devant la représentation nationale à la recherche du bien être avec un seul but, de vivre ensemble en respectant ses droits.
Rendez-vous au sommet. Ce n’est pas qu’un simple crédo pour Christelle. Les œuvres qui accompagnent cette idéologie sont légion. Nul ne douterait que la meilleure manière de s’enfoncer dans cette lutte, pérenniser les bonnes actions pour une classe politique consciente des enjeux qui entourent l’émergence de la République serait de permettre à Christelle Vuanga de revenir sur la scène politique, en renouvelant son mandat pour la législative nationale de 2023.
Et plusieurs se posent la question de savoir : mais avec quel discours, avec quelle couleur politique ira-t-elle aux élections en 2023 ? De couleur politique, elle en a sûrement une. Et sa carrière politique, ses réalisations, ses propositions de lois à la Chambre des représentants et leurs aboutissements, feront un discours captivant décoré par la verve de son expression. Tout simplement.
Par Samuel Ndolo @SamuelNdolo13