Le monde célèbre chaque 11 février, la journée internationale des femmes scientifiques. Cette année, elle s’est déroulée sous le thème : «Combler l’écart entre genre en sciences : accélérer l’action».
Adoptée depuis 2015 par l’assemblée générale de l’ONU, cette journée constitue une occasion de mettre en lumière l’importance d’égalité de sexe dans les domaines scientifiques.En République démocratique du Congo (RDC), le ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST), reste déterminé à promouvoir l’égalité de sexe dans les domaines scientifiques par la gratuite de l’enseignement primaire.
D’après sa direction de communication, le ministère de l’EPST a levé les obstacles qui limitent leur accès à l’éducation, à la formation, à l’emploi et à la prise de décision dans les domaines scientifiques.
De son côté, la Banque mondiale envisage mettre en place de 2024 à 2028, le Projet d’apprentissage et d’autonomisation des filles (PAAF) en vue de favoriser un accès sûr et équitable à l’éducation avec une attention particulière portée à la scolarisation des filles.
Ce projet va également permettre le recrutement de 5000 nouvelles enseignantes dans les écoles secondaires publiques et la mise en place d’un modèle d’écoles sûres et inclusives au profit des filles et des femmes.
BM