La Première dame de la République démocratique du Congo, Denise Nyakeru, joue le jeu du président de la République, Félix Tshisekedi. Les actes qu’elle pose par-ci par-là, à travers même sa fondation, témoignent de son engagement à accompagner le chef de l’État, aujourd’hui et à jamais, et à s’aligner sur sa vision, pour le développement du pays.
Jamais n’a-t-on connu de pareille Première dame, comme le président ! À l’aune du début du premier mandat de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, fin janvier 2019, Denise Nyakeru Tshisekedi accompagne, milite et participe aux efforts engagés par le régime Tshisekedi, pour changer le cours de l’histoire du peuple congolais. 2023, le récit dramatique des Congolais, marqué au fer par le « Peuple d’abord », continue.
Comme le président, Denise Nyakeru continue de participer par son engagement et son dévouement à apporter du soutien à la population congolaise. La Première dame a initié des œuvres pour soutenir les malades pendant la Covid-19. Elle a aidé des maraîchères à développer leur petit commerce, elle octroie, au travers de la fondation, qui porte son nom, des bourses d’études aux élèves finalistes ayant obtenu plus de quatre-vingt pour cent aux épreuves d’examen d’État et elle a procédé au vernissage du premier volume de l’ouvrage “Congo au féminin” qui retrace le parcours de 10 légendes de la RDC.
Le « Peuple d’abord » est un éternel slogan qui, par les actes qui parsèment son parcours dans le temps, deviendra un idéal sempiternel pour toute la population congolaise. Comme le chef de l’État, la Première dame agit pour l’intérêt des Congolaises et Congolais avec toutes les initiatives qu’elle porte. Par-dessus tout, elle agit pour les femmes et les jeunes filles.
Si Fatshi s’offre un deuxième mandat, remportant les échéances serrées de 2023, il s’offrira une Denise Nyakeru encore plus engagée, dévouée, alliée du genre Hillary Clinton, une vraie porte-étendard et défenseure des droits des femmes, des jeunes filles et des enfants abandonnés à leur sort. Les faits sont là, tellement sacrés, qu’il importe de les exposer par un développement.

Savoir s’aligner à la vision
La femme du président de la République est, sauf erreur d’attention, la Première dame de la République. Cela veut dire, que Denise Nyakeru incarne l’image féminine de Félix Tshisekedi. Elle conseille, anticipe ; elle transmet des désidératas des femmes au chef, elle sollicite le soutien du président et plaide, s’il le faut, pour les bonnes causes. Tout cela est beau. Faire tout cela est joli. Mais la Première dame doit savoir s’aligner à la vision du président de la République.
Denise Nyakeru s’aligne. Lève la voix quand il le faut, cadence le rythme de ses actions et structure tous ses propos pour qu’ils soient en harmonie avec la vision du chef de l’État. La Première dame n’a pas de pouvoir constitutionnel pour impliquer le pays, mais elle a, néanmoins, le devoir citoyen et le devoir de femme pour soutenir son mari, de surcroît son président.
Fatshi est comme le vent qui se remue dans l’air, et Denise une feuille qui suit le mouvement du vent. Arrivé au pouvoir, la question de la gratuité de l’enseignement étreint le chef de l’État ; il décide de rendre effective la gratuité de l’enseignement de base sur toute l’étendue nationale, telle que prévue par la Loi. Avec la Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi, l’épouse du président se penche sur la question de l’éducation des Congolais avec des bourses d’études offertes aux finalistes lauréats aux épreuves des humanités.
Félix Tshisekedi dit se donner corps et âme pour ramener la paix dans l’Est, Denise s’aligne : elle lance une campagne pour soutenir les FARDC, elle rencontre les femmes des militaires pour créer un rapprochement, elle compatit avec les familles éplorées de l’Est par des prières. Même sur des questions sensibles, DNT se mobilise pour faire mieux.

Le binôme
Comme le président, la Première dame a, tout récemment, effectué des séries d’échanges avec les universitaires de l’Unikin, de l’ISC, de l’Ifasic et ceux de l’UPN. Des échanges qui tournent autour de la participation politique des femmes en RDC, par exemple. L’idéal, dans cette démarche, c’est de se rapprocher des jeunes, d’échanger avec eux et de connaître leurs besoins, comme l’a fait le chef de l’État il y a quelque temps.
Le problème des violences sexuelles et celles basées sur le genre restent le fil conducteur du combat de Denise Nyakeru pour valoriser la femme et la jeune fille congolaise. Pour son combat, elle a été désignée « Championne de la prévention de la violence sexuelle liée aux conflits » par les Nations Unies, en 2019. Ceci engendre cela, le 28 décembre 2022 le président promulgue la loi fixant les principes fondamentaux relatifs à la protection et à la réparation des victimes des violences sexuelles, liées aux conflits et des victimes des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité en République démocratique du Congo (RDC). Immense joie ressentie par la Première dame.
Finalement, l’un ne va pas sans l’autre. La Première dame pense comme le président. Elle réfléchit comme lui. Elle se rallie à sa cause. Elle bouge, dans le sens figuré, comme lui. Pour cette année électorale, qui secoue déjà tous les états généraux des partis politiques en compétition, Denise Nyakeru sera un binôme fort du chef de l’État. Pour beaucoup de choses.
Samuel Ndolo